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Des reprises qui tutoient des sommets (5)- Kid Pharaon- Knockin’ on heaven’s door (de Bob Dylan et non de Guns and Roses, hein!)

Bon, on va être honnête, elle ne tutoie pas les sommets, d’autant que ce n’est pas la version que je voulais vous faire écouter, car je ne l’ai qu’en K7 (en live), mais cette reprise de Knockin’on heaven’s door par Kid Pharaon vaut en tout cas 10 fois plus que celle de Guns&Roses. Pour leur version à eux, j’aurais bien fait à la place un billet pour notre rubrique « D’habitude j’aime mais là j’aime vraiment pas« , mais je n’aime pas vraiment Guns& Roses… car, franchement, transformer une magnifique balade en slow à grosses guitares… Où est passée l’émotion qui rend ce titre normalement si poignant? Bref, on est pas là pour parler de ces tristes sires mais de notre Kid national à nous.

Cette reprise par Kid Pharaon avait d’ailleurs été l’occasion de longuement échanger par mail sur le sujet avec Fracas. Ce dernier m’avait fait parvenir toutes les versions live qu’il avait. Mais aucune n’égalait la mienne… Et tout ça m’avait même valu ce billet sur son blog. C’est dire s’il était vraiment adorable… et qu’il me manque toujours.

Par contre, cette chanson de Bob Dylan pourrait figurer parmi mes plus belles chansons du monde…

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Un cadeau de Dado: Frenchy but chic (1)- Kid Pharaon- Hands (1988) & Deep sleep (1991)

Nouvelle rubrique? Pas exactement. Même si on n’est pas sûr d’alimenter aussi bien qu’il le fit pendant de si nombreuses, ce titre est en fait un hommage à l’amis Fracas puisque c’était le nom de sa rubrique pour parler du rock français. On compte sur vous pour alimenter cette rubrique.

Alors, quoi de plus naturel pour nous que de commencer cette rubrique avec le merveilleux Kid Pharaon qui, le temps de trois albums et demie, aura su marquer une époque et dessiner une trop courte discographie synonyme d’élégance et de fraicheur, pour s’achever sur les rivages plus sombres de son Deep Sleep.

Son nom est d’ailleurs souvent associé à son premier album, Love Bikes, accompagné alors par ses Only Ones et régulièrement placé dans les disques à posséder dès que les sélections sont conçues par des francophones (et que Fracas avait chroniqué ici (et dont Dado a réactualisé le lien en bas des commentaires (et si vous ne le connaissez pas, on vous invite vivement à y remédier car c’est satisfait ou remboursé (avouez que tout cela valait quelques parenthèses!)))). Il est vrai que ce disque est vraiment réjouissant et ne cesse de vieillir merveilleusement.

Un modèle insurpassable? Pas si sûr.

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